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Veiller au bonheur pour mieux relever les défis

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Libérer l’énergie nécessaire au changement et se donner les moyens de relever de nouveaux défis. 

Faisant face aux défis de la transformation digitale, les organisations doivent gagner en flexibilité et parvenir à mieux mobiliser les énergies autour d’un projet d’avenir. Dans ce contexte, comme nous l’explique Bart Van Mulders, fondateur de ASKJA Banking Systems Expert, veiller au bonheur de l’ensemble de ses collaborateurs est un facteur essentiel.

À quoi tient aujourd’hui la réussite d’un projet complexe de transformation d’un système informatique bancaire? 

Elle dépend avant tout des équipes impliquées dans le projet et de l’énergie qu’elles vont y investir. C’est vrai dans tous les domaines. Dans le cadre de projets de transformation des systèmes bancaires, qui peuvent parfois s’étendre sur plusieurs mois, avec d’importants risques à gérer et une réelle complexité à appréhender, c’est un facteur crucial.

Dans le contexte actuel, l’entreprise doit gagner en flexibilité. En s’ouvrant à la nouveauté, elle pourra mieux aborder les défis de demain et entraîner avec elle les collaborateurs et partenaires qui supporteront le changement. 

Quels sont les principaux leviers à activer pour mobiliser les collaborateurs face à ces enjeux de transformation? 

L’humain n’aime pas le changement. Confortablement installé dans des routines, il a tendance à repousser les échéances qui l’obligent à bousculer ses habitudes. Pour dépasser cela, il faut travailler sur la culture d’entreprise afin de faire évoluer les attitudes. Au sein de l’organisation, chacun doit avoir conscience que, désormais, l’avenir de l’entreprise dépend de sa capacité à changer encore et encore. 

D’autre part, il est essentiel que chacun soit épanoui dans son travail, qu’il se sente bien dans ses baskets. Je pense que l’évaluation du bonheur au travail, aujourd’hui, doit figurer en bonne place parmi les indicateurs à prendre en compte.

Pourquoi et comment mesurer le bonheur au travail?

Il existe des outils très simples à mettre en œuvre pour évaluer le bonheur au travail. Grâce à un tableur partagé, on peut effectuer un relevé régulier de l’état d’esprit des membres d’une équipe et se faire une idée de l’épanouissement de chacun et de la manière dont fonctionne une équipe. Par exemple, on peut offrir aux collaborateurs la possibilité d’évaluer sur une échelle de 1 à 5 leur satisfaction à faire partie de l’organisation, à mener à bien les missions qui leur ont été confiées, à travailler avec leurs clients ou collègues. L’indice moyen qui en résulte constitue l’indicateur de bonheur. Il pourra être suivi dans le temps. 

Déceler des variations dans l’indice moyen de bonheur au travail permet de facilement identifier des problèmes et d’apporter des solutions de manière rapide. En outre, interroger les collaborateurs sur les leviers d’amélioration permet de prendre des mesures simples qui peuvent produire des impacts réels. On peut de la sorte s’inscrire dans un processus d’amélioration continue, en évaluant dans le temps les effets des mesures prises sur le bonheur de ses collaborateurs.  

En veillant au bonheur des collaborateurs, l’entreprise libérera plus facilement l’énergie nécessaire au changement, fidélisera les talents, se donnera les moyens de relever de nouveaux défis. 

http://paperjam.lu/brand-voice/veiller-au-bonheur-pour-mieux-relever-les-defis

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